We have a dream.
Celui où nous vivions dans une Belgique enfin libre.
Publié dans La Libre ce 25/08/2012
Libre des carcans étatiques qui freinent dans tous les domaines l’initiative privée, seul moteur d’une société moderne créatrice de richesses. Notre rêve est déjà en marche.
Depuis une vingtaine d’années, dans de très nombreux domaines, des avancées significatives allant dans le bon sens se sont réalisées. En fait, depuis que les bien mal nommées "démocraties populaires" se sont effondrées, à bout (...)
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bourses
Articles
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Plutôt Marlowe que Maigret
25 août 2012 -
Le protectionnisme, leur grande trouille ?
15 janvier 2015, par Collectif Le RessortLe collectif le Ressort & Barricade vous proposent
lundi 02 février 2015, à 19h30
Un débat contradictoire avec :
François Ruffin, rédacteur en chef du journal Fakir (France)
Marc Tarabella , député européen (PS)
et Thierry Bodson, secrétaire général de la FGTB wallonne
Contre le libre-échange mortifère et tueur de démocratie, un spectre hante l’Europe, celui du protectionnisme. Face au capital, le rétablissement de barrières douanières, de taxes aux frontières et de quotas d’importation (...) -
L’Effet Papillon...
27 novembre 2011, par Didier Brissa, Maximilien Lebur, Michel Recloux, Olivier Starquit, Pierre Eyben, Sylvain Poulenc, Yannick BovyAu Boulevard de l’Empereur vient d’être lancée l’opération « sauvons nos élus », dont le résultat a été publié dans Le Soir du 7 novembre.
Le Parti socialiste s’apprête manifestement à vivre une nouvelle crise de schizophrénie aiguë : il aurait, écrit-il, le cœur dans la rue… mais des « responsabilités » au gouvernement. Cette contradiction imbuvable, il semble ne pas savoir comment la faire avaler à son électorat et aux organisations qui lui sont proches. -
Qu’on les ferme !
26 avril 2011, par Didier Brissa, Laurent Lefils, Maximilien Lebur, Michel Recloux, Olivier Starquit, Sylvain Poulenc(http://ledessindulundi.ultra-book.com/)
Dans Fukushima, il y a « ushima ». Nous ne savons pas ce que ça veut dire. Mais au vu du reste du mot, on peut affirmer que pour l’instant, au Japon, c’est la merde. Le Japonais est stoïque, nous dit-on : « Il ne montre pas sa douleur », « il n’y a pas de pleureuses », « ils ont tout perdu sauf le sourire » . Aucun Japonais ne se sent-il au bord d’un précipice écologique et économique ? C’est pourtant bien là que le besoin d’énergie de ses entreprises a conduit le (...)